AGE + 21 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE + 08 octobre 1993, Budapest, Hongrie NATIONALITÉ ET ORIGINES + Hongroise CARACTÈRE + Sloane a toujours été une fille très malchanceuse, le sort s'est acharné contre elle avant même qu'elle ne vienne au monde. Avec les années, elle n'a pas eu beaucoup plus de chance. De manière générale, à l'exception des faux-semblants dont elle fait preuve lorsqu'elle pratique son métier, c'est une fille assez réservée qui va peu vers les autres d'elle-même. Paradoxalement, lorsqu'elle est en confiance avec des gens qu'elle aime, c'est une fille pétillante. Sloane est sans cesse souriante, elle passe son temps à avoir l'air heureuse et joyeuse alors qu'au fond d'elle, elle se sent toujours seule. Elle est à l'écoute des autres mais parle aussi peu d'elle que possible, du moins, elle n'aime pas se plaindre. Elle ne veut pas de la pitié des autres, elle a assez pitié d'elle-même pour toute une vie. Elle est têtue, pour autant elle a rarement le courage d'exprimer son opinion, elle a trop été rabaissée toute sa vie pour avoir le cran de s'imposer face aux autres bien que ce ne soit pas l'envie qui lui manque. Elle voudrait croire en l'amour mais ses multiples expériences avec les hommes l'en empêche. ÉTUDES, MÉTIER + Prostituée ORIENTATION SEXUELLE + hétéro STATUT + Célibataire GROUPE + Underground  CÉLÉBRITÉ + Barbara Palvin CRÉDIT(S) + Nelliel ; Tswizzlehelps

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Δ POUR VOUS L'ARGENT REPRESENTE :
une nécessité pour survivre dans cette jungle
❒ tout : mon travail, ma vie, mes amis. Sans argent, je ne suis rien
❒ une commodité qui vous permet de payer vos loisirs et le silence de certain(e)s
❒ quelque chose que vous aimeriez bien avoir

Δ QU'EST-CE QUE WALL STREET ?
❒ Wall quoi ?
❒ une guerre féroce et sans pitié pour chaque dollar gagné
❒ une source sans fond d'argent
un repère de rapaces sans morale qui vole l'argent des plus démunis

Δ QUEL EST TON PLUS GRAND OBJECTIF DANS LA VIE ?
❒ être riche et réussir
❒ trouver le bonheur, loin de toutes ces personnes sans foi ni loi
vous sortir de cette misère
❒ c'est une bonne question...

Δ prénom/pseudo : Nolwenn / Niagara, Ilhyianna Δ âge : Bientôt 19 Δ comment as-tu connu le forum ? Par le staff ... et maddie xD Δ personnage inventé ou scénario ? inventé (pour une fois xD) Δ as-tu d'autres comptes : pas z'encore Δ mot de la fin : banana split ! (I'm Trish pour ceux qui me connaissent   )

Naissance

Vous savez, ces gens qui ont eu une vie merdique, nés le mauvais jour au mauvais endroit et dans la mauvaise famille ? Oui, vous voyez de quels gens je parle. Sloane fait partie de ceux-ci. Dès sa naissance, tout le monde savait qu’elle aurait mieux fait de ne jamais venir au monde. Ses parents ? Un jeune couple, sa mère avait à peine dix-sept ans, son père en avait vingt. Elle est tombée enceinte par accident. Il a voulu qu’elle avorte, elle a refusé et il s’est barré. Chouette, non ? Sloane est donc née d’une mère célibataire que ses parents ont foutue dehors quand ils ont appris qu’elle avait arrêté ses études pour poursuivre sa grossesse. C’est donc dans un foyer pour jeunes mère qu’elle a passé une bonne partie de sa grossesse et élevé Sloane pendant un an. Avec les aides qui lui étaient accordées, elle avait réussi à trouver un petit appartement, décroché un boulot de serveuse sous-payé et se débrouillait avec des garderies spécialisées pour mères en difficulté pour faire garder Sloane pendant qu’elle travaillait. Malgré toutes ces difficultés, et tous ses problèmes, tout l’argent qui lui restait après le loyer et les courses allait pour sa fille. Elle faisait tout pour qu’elle soit bien élevée, qu’elle grandisse bien et qu’elle devienne une future femme heureuse.

Enfance

Sloane avait huit ans quand sa mère se trouva un nouveau mec. Ce type qu’on lui disait d’appeler papa, elle le trouvait simplement bizarre et même un peu flippant. A chaque fois elle partait se planquer derrière sa mère. Ce qu’elle avait retenu de lui… C’était que sa mère avait l’air triste. Elle l’était beaucoup moins quand elles étaient juste toutes les deux. Des fois, sa mère venait la chercher à la garderie en souriant, mais elle voyait bien dans ses yeux que quelque chose n’allait pas. Parfois même, elle avait des marques sur le visage et elle disait à Sloane qu’elle s’était cognée. Mais Sloane trouvait ça bizarre, elle ne savait pas pourquoi mais quelque chose clochait. Sa maman n’était plus comme avant. Elle resta cinq longues années avec cet homme qui la battait sans qu’elle ne dise rien. Sloane avait treize ans, et elle était suffisamment grande pour réagir… Mais trop petite pour que cela serve à quelque chose. Sloane savait qu’il battait sa mère, mais elle ne l’avait jamais vu faire. Un jour, elle rentrait de l’école et elle le vit la gifler violemment, assez pour qu’elle s’écroule au sol. Elle s’était jetée sur lui et hurlant « Tu la touches pas !! » mais d’un mouvement du bras, elle avait été balayée comme un fétu de paille. Il y eut besoin de cet élément pour qu’elle foute le camp avec sa fille, à nouveau seule.

adolescence, la dureté de la vie

Elles quittèrent la Hongrie quelques temps plus tard pour s’installer en Amérique. Un pays dont Sloane ne parlait pas la langue du tout, enfin à part les bases qu’elle avait appris à l’école mais apprendre à compter et dire les couleurs n’allait pas la mener bien loin. Sloane peinait à suivre les cours, elle était solitaire, ne connaissait personne, ne parlait pas leur langue. Elle était « l’étrangère » et comme ses malheurs n’arrivaient jamais seuls, elle était tombée dans une classe où elle avait fini par devenir le souffre-douleur. Certains prenaient plaisir à se moquer d’elle, à la ridiculiser, voire même à lui faire du mal… Et ceux qui ne faisaient rien étaient tout aussi coupables. Mais Sloane ne disait rien, elle se laissait faire, comme si d’une certaine façon elle méritait ce qui lui arrivait. Quand bien même elle s’était révoltée, à quoi cela aurait-il bien pu servir ? A part les insulter en hongrois pour qu’ils se moquent un peu plus ? Elle était bien trop chétive pour se battre et quand bien même elle aurait eu le dessus sur eux, c’est elle qui aurait eu les ennuis. Alors au lieu de cela… elle se laissait faire. Le soir quand elle rentrait, elle faisait bonne figure devant sa mère puis elle pleurait dans sa chambre. Elle était malheureuse… et sa mère aussi. Sloane voyait bien les cadavres de bouteilles que sa mère amenait la nuit aux poubelles pour verre en croyant que Sloane dormait. Mais l’adolescente était loin d’être stupide, sa mère buvait et elle le savait.

quand tout s'écroule autour de nous

La mère de Sloane arrivait tout juste à payer le loyer, elle ne pouvait plus se permettre d’offrir des choses à sa fille car tout son argent partait dans les choses essentielles et nécessaire, parfois même ce n’était pas suffisant. Enfin « tout »… une partie partait dans l’alcool, elles ne communiquaient plus. Elles faisaient toutes les deux bonne figure devant l’autre, comme si tout allait bien alors que tout allait mal. Sa mère était alcoolique, Sloane était martyrisée par les autres. Elle en avait tellement marre qu’elle avait fini par faire une tentative de suicide en prenant des médicaments, mais ce fut sans succès. Elle avait passé quelques jours à l’hôpital, obligée de voir un psychologue comme le voulait la procédure après une tentative de suicide. Tout ce qu’elle gardait sur le cœur depuis quinze ans avant explosé. Elle avait fini en larmes chez le psychologue au point qu’il avait fallu lui donner un calmant. Quelques temps après, elle retourna chez sa mère… mais tout était exactement comme avant. Elle avait nié être alcoolique auprès des médecins, affirmant seulement qu’elle faisait tout son possible pour subvenir à ses besoins et ceux de sa fille. La première nuit qu’elle repassa chez elle après son hospitalisation était stressante, elle n’avait pas réussi à dormir. Réveillée par des bruits, elle s’était levée, tombant sur sa mère complètement ivre dans le salon. Sloane avait secoué la tête avant de repartir en direction de sa chambre, préférant fermer les yeux. Mais sa mère l’interpella, complètement saoule, le ton monta vite entre la mère et la fille. Sloane était désemparée, sa mère lui faisait peur dans cet état. Elles finirent par en venir aux mains, Sloane reçut une gifle alors que sa mère ne l’avait jamais frappé, qu’elle avait quitté son ancien mec parce qu’il avait osé lever la main sur Sloane. Les larmes lui montèrent aux yeux, elle avait bien plus mal intérieurement que physiquement… elle avait perdu sa mère depuis des années. Elles continuèrent à hurler, sa mère l’accusait d’avoir détruit sa vie, que tout allait bien avant qu’elle naisse, … elle lui reprochait des choses horribles alors que Sloane n’était responsable de rien. « Alors fallait te débarrasser de moi quand t’en avait encore le temps !!! » avait-elle hurlé à l’adresse de sa mère. C’était la première fois qu’elle hurlait ainsi sur elle, cela eu l’air de la surprendre un bref instant puis elle continua de lui reprocher tout ce qui lui passait par la tête. Elles en vinrent à nouveau aux mains, mais il était hors de question que Sloane continue de prendre pour quelque chose qu’elle n’avait pas fait, elle repoussa sa mère qui perdit l’équilibre et s’écroula sur la table en verre. Il y’avait beaucoup de sang, paniqué Sloane appela les pompiers et sa mère fut conduite à l’hôpital sans avoir de blessures graves.  

la vie, la mort... on entre, on sort... c'est tout

Dix-huit ans… Sa mère est aux alcooliques anonymes, Sloane ne fait rien… malgré son intelligence, elle n’a pas les moyens d’aller à l’Université. Elle avait postulé pour être serveuse dans plusieurs café, mais il y’avait toujours quelqu’un pour lui prendre la place sous le nez. Un soir, elle décida qu’elle avait marre de cette vie ! Marre de manquer d’argent depuis toujours, marre de prendre pour des choses dont elle n’était pas responsable, marre de toujours passer après les autres. Elle rentra chez elle, prête à dire toutes ses quatre vérités à sa mère, mais elle la retrouva inconsciente sur la moquette, plusieurs bouteilles vides autour d’elle. Eh merde ! Elle chercha son pouls mais ne trouva rien, la peur s’empara d’elle, elle appela les pompiers… encore. Mais c’était trop tard, sa mère avait fait un coma éthylique et en restant sur le dos, elle avait fini par s’étouffer… Sloane aurait dû être présente ce soir-là mais elle était sortie… alors elle culpabilisait, se sentait responsable de la mort de sa mère alors qu’elle n’y était pour rien, une fois de plus… Mais maintenant elle était seule, totalement seule. Le bail de l’appartement se terminait le mois prochain, qu’allait-elle faire une fois à la rue… 

I'm not that girl

Ce qui devait arriver arriva, Sloane n’avait toujours pas de travail, elle ne pouvait donc pas payer le loyer et le bail de l’appartement était terminé… elle n’avait pas un sous en poche. Elle avait revendu certaines affaires pour payer une chambre d’hôtel miteux, tentant toujours de trouver du travail qui lui passait sous le nez à chaque fois. Elle n’avait presque plus rien… elle n’avait gardé que les choses qui lui tenait à cœur. N’ayant même plus de quoi se payer l’hôtel, elle se retrouva à la rue avec deux ou trois sacs qui contenaient tout ce qu’il restait de sa vie. Elle était terrifiée. Chaque fois qu’elle entendait un bruit, elle imaginait tout un tas de scenario, elle se voyait déjà égorgée dans la rue alors que ce n’était rien de plus qu’un chat qui avait sauté sur une poubelle. Elle passa trois jours dans la rue, frigorifiée jusqu’à ce qu’un jour, un homme lui offre un café. Paranoïaque, elle avait beaucoup hésité mais avait fini par accepter, elle avait trop froid, trop faim, … Il avait été gentil avec elle, poli, pour la première fois. Elle l’avait suivi jusque chez lui, ce soir-là ils avaient couché ensemble, au matin elle s’était réveillée alors qu’il était sous la douche, sur l’oreiller à côté d’elle, une coquette somme d’argent – enfin à ses yeux, mais vu l’argent que lui semblait avoir, ça ne devait pas trop lui manquer – elle voulut se révolter, elle n’était en rien ce genre de fille… mais elle se ravisa. Elle partit avec l’argent sans demander son reste, elle se sentait sale… mais cet argent lui permit de payer une chambre d’hôtel, d’à nouveau dormir dans un lit … et de fil en aiguille… elle se mit à se prostituer de temps à autres pour pouvoir subvenir à ses besoins. Louer un appartement une pièce, juste assez pour elle.

Maybe true love ?

Un soir, un homme, Sloane marchait dans la rue. Un homme sortait d’un bar, il empestait l’alcool et évidemment, Sloane était sur son chemin. Il commença à la héler, à lui faire des propositions que Sloane refusa. Il s’énerva, lui attrapa le poignet alors qu’elle se débattait et appelait à l’aide sans que personne ne vienne. Mais qu’est-ce qui lui avait pris de passer dans une rue aussi peu fréquentée ? Il l’envoya valser contre un mur avant de la tirer sur un banc, commençant à la déshabiller pendant qu’elle le griffait, tentait de s’enfuir comme elle pouvait, l’espoir désertait peu à peu son esprit. Jusqu’à ce qu’elle entende cette voix « T’as pas entendu ? La dame a dit non. » Sloane tourna la tête au moment où son agresseur se prenait un coup de poing violent au visage. Le jeune homme attrapa Sloane par la main et courra plus loin, vers un endroit plus peuplé. « Tout va bien ? » Sloane hocha la tête encore sous le choc, se rhabillant correctement. Elle détailla son sauveur, un beau brun, il avait l’air si paisible, elle avait dix-neuf ans et lui devait avoir quoi … trois ou quatre ans de plus ? « Vous avez besoin que je vous emmène à l’hôpital, ou que j’appelle quelqu’un ? » Sloane secoua la tête de droite à gauche. Elle n’avait personne à appeler, quant à l’hôpital, elle en avait de trop mauvais souvenirs. « Vous en êtes certaine ? » nouveau hochement de tête de la part de la petite brune, il fronça les sourcils « Je m’appelle Jason, et toi ? » lui demanda-t-il d’une voix rassurante, elle répondit d’une toute petite voix « Sloane… » [color=#0099ff« C’est un joli prénom »[/color]. Enfin un léger sourire apparu sur le visage de Sloane « ah ben voilà ! ». Sloane tremblotait, un mélange entre le froid et la peur qui commençait lentement à quitter son corps. Jason retira sa veste pour la lui mettre sur les épaules. Il l’emmena boire un chocolat chaud, et à la fin de la soirée, il lui laissa son numéro, si jamais elle voulait le joindre, il partit en lui laissant sa veste. Sloane rentra chez elle encore toute chamboulée.

retour à la réalité

Elle n’avait jamais osé rappeler Jason, pourtant, c’était sa veste en cuir qu’elle mettait chaque jour, cette veste bien trop grande pour elle mais qui la rassurait tant. Elle le recroisa par hasard dans un supermarché, ils discutèrent en bloquant le passage aux clients qui râlaient. Elle voulut lui rendre sa veste mais il refusa « elle est mieux sur toi » lança-t-il. Il était trop parfait pour être honnête… mais Sloane commençait déjà à tomber amoureuse. Quelques mois plus tard, ils se mirent en couple. Tout allait bien … excepté le fait qu’elle n’avait pas osé lui dire qu’elle se prostituait, elle avait prétendu travailler de nuit comme femme de ménage, dans une entreprise. Si elle avait dit qu’elle était serveuse, il aurait essayé de venir la voir et aurait compris qu’elle mentait. Elle voulait lui avouer, mais chaque jour elle repoussait l’échéance. Elle avait trop peur de le perdre. Mais elle prit son courage à deux mains pour tout lui avouer, elle vint sonner chez lui sans prévenir à l’avance, et ce fut une femme qui ouvrit, une belle blonde avec de grands yeux bleus. « Je peux vous aider ?
- Euh… oui, je cherche Jason mais … j’ai dû me tromper d’adresse.
- Non, c’est ici ! Chéri, y’a quelqu’un pour toi ! »
Chéri ?
« Et vous êtes ?
- Euh … une amie. »
Improvisa-t-elle, que pouvait-elle répondre d’autre. Faites que tout ceci soit un énorme quiproquo, après tout, c’était un prénom très répandu… Jason apparût dans à la porte, près de la belle blonde.
« Sloane ? Qu’est-ce que tu fais là ? » Elle baissa la tête et regarda à leurs doigts, une bague commune, à l’annulaire… eh merde… Elle l’avait pensé qu’il était trop parfait pour être honnête et elle s’était laissée berner. Retenant ses larmes elle lui sourit comme si de rien n’était. « Je voulais te parler d’un truc mais … c’est pas si important que ça finalement ! » Elle aurait pu dire la femme « bah je suis la copine de votre mari en fait ! Nan parce qu’il vous trompe, et d’une certaine façon moi aussi puisque je savais même pas que vous existiez. A votre place je lui mettrai une laisse. » c’était tout ce qu’il méritait, qu’elle détruise son couple. Au lieu de cela, elle se retourna, se forçant à marcher à une vitesse normale alors qu’elle voulait partir en courant. En rentrant chez elle, elle s’effondra dans son lit, pleurant toutes les larmes de son corps. Elle bloqua ses appels, le laissait à la porte quand il sonnait pour tenter de s’expliquer, jouait les absentes. Sloane fini par changer d’appartement, elle laissa le blouson de cuir devant la porte et ne revint plus jamais dans cet immeuble.

Vire ou survivre

Pour tenter de l'oublier, Sloane se mit a avoir des relations purement sexuelles avec de parfaits inconnus, à traîner la nuit dans les rues  de New York et rarement dans les beaux quartiers. Elle couchait avec des hommes, était payée pour le faire, détestait cela mais n'avait pas le choix. Elle avait beau passer son temps à chercher du travail, elle ne décrochait jamais rien. Sans trop comprendre comment, elle se retrouva embarquée dans un réseau de prostituées avec un proxénète qui lui ordonnait quoi faire... elle avait tout fait pour faire marche arrière mais lorsqu'un mac à mit la main sur vous, il est presque impossible de s'en sortir. Au moins les escort girls ont une liste de clients, quand elles sortent de là, elles refourguent leur liste à une autre et peuvent faire leur vie. Mais Sloane était une prostituée de bas étage, celles qui n'ont pas leur mot à dire et qui ne peuvent pas réussir si elles sont seules. Voilà comment Sloane gagne sa vie depuis environ deux ans. Elle essaie par tous les moyens de ne plus être sous la coupe de son mac, de gagner de l'argent autrement, mais le sort s'acharne contre elle...